Wednesday, December 24, 2014

Dec 24...

I've been writing again. Though not in the normal sense and in french nonetheless. Its one day to Christmas, and although I do not endorse or admire any religious holiday, it does bring to mind romantic elements of the past, and possibly the future. I miss the snow somewhat. Not enough to move to the arctic and see it year round, but there is something about walking on sturdy snow, hearing it beneath my shoes and breathing in the crisp air. It does bring back nostalgic moments.

Feel free to use anything I wrote to get laid this holiday season.

Have a good one. Merry "whatever" to all, and to all a good send next year.

( Sorry. for some reason the font function is not working. had to highlight )


Un Petit Froid. Par Ulric Rousseau


Je pense beaucoup à marcher avec elle dans la petite neige de l'après-midi, main dans la main en amoureux. Le silence de l'air froid autour de nous. La neige qui tombe sur nos épaules lentement. Me retourner ver elle. La regarder dans les yeux. Embrasser ces lèvres doucement. La tenir au chaud contre moi. Ecouter le son des soulier sur la neige fraîche sou nous pied... engourdie.

Main dans la main...les amoureux marche sous les arbre du parc. Les branches fraîchement vierges des feuilles de l'automne. Encore plusieurs d'entre elle peu être ressenties sou la neige nouvelle de novembre. Brusque. Paisible. Simple. Tous blanc au contour de noir des arbres au dessous de deux amoureux. Le canapé couvert de petit glaçons qui coule d'eau translucide sou les percé de soleil de l'ouest. Légèrement est le temps. Rien ne dérange cette peinture parfaite d'amour. Les deux aussi son parfais. Leur main entre eu, les doigt exposer au petit froid ce réchauffe ensemble. Leur bout ce touche doucement, ce frotte l'un contre l'autre. Il marche épaule coller. Tète ver l'un et l'autre. Tranquillement. A demi vitesse sou le canapé de neige glacé et le blanc froid qui étourdis leur sentiment.

Des yeux qui percent le soleil, qui fond fondre le métal, qui abaisse même le regard de vampire. Il urge une passion mais encore plus, une détermination constante et dramatique. Une dévotion toxiques d'amour et de désire qui rend son homme fou, sans pitié,  elle le dévore d'une seul bouchée,  son sang légèrement,  brutalement deviens le sien...

Une soirée passer avec toi. Une chambre tous noir enluminer par des chandelles.  Un bain chaud. Des bulles. Blanches. Une bouteille de Champagne coulent doucement sur ton corps, moi qui goute et bois tes sien, tes fesse, tes jambe, ton cou, tes lèvre, tes épaule, ton nombril. Mais main qui glisse sur toi. Dans toi. Tes yeux fermer qui vie en temps réal le rêve parfais. Un homme qui aime la femme parfaite qui fais l'amour a la femme qui aime l'homme fort qui la protège a tous moment de la noirceur et du mal. Qui dépose les fleure a ces pied, qui demande juste de lui faire plaisir...

La lumière fond leur âme ensemble. Il s'embrase longtemps. Il la regarde avec amour pur. Il la caresse. Il la prend avec ces muscles fort mais gentiment. Elle le regarde puis ce laisse prendre. Tombe dans ces bras. Presse sa tète contre lui. Son corps nue repose sur lui. Il la tien. Embrase ces partie sensible autour de son coup puis ces lèvre. Son corps commence a sué. Elle glisse contre lui. Elle ferme ces yeux...

Quand je pense a elle ces un souvenir. Même si le temps n'y est pas vraiment responsable. Juste un petit moment. Elle étais a moi pour une fraction de second. Tout a moi. Disponible. Belle. Généreuse. Attentive. Son désire ma réalité. Ces demande mes action. Elle troublait mes rêves. Elle me réveille des cauchemars puis ajuste la lumière de demain pour le jour de hier. Ces souvenir son mes réalité. Son amour pourtant caché démontre une sincérité absolue. Nous demandons du silence pour réveiller les morts avec nos cris. Nous demandons le bruit pour encourager les belle nuit de sommeille paisiblement ensemble. Seul. Personne. Le secret. Tout a nous. Rien ne peu déranger.


Ce qui m'excite ces de ne pas avoir de pouvoir. De filtrer les mensonges puis les vérité des phrase. Etre totalement pris au poignet. Elle parle puis je fonds. Elle me demande est je commande. Pourtant. L'heure  approche ou elle verra que tous sa penche a païenne la balance quand a l'amour qui séparera elle et lui par moins de un centième  de millimètre. Quand elle pourra  goûter  ce que elle désire elle sentira pour la première fois ces quoi être vivantes. Respiré. Sentir  son sang pomper  dans ces viennes. Lui il la prendra  a ce moment volatiles puis la portera dans un orgasme magnifique digne de un homme presque  parfaits...

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